Une perquisition en matière de pornographie juvénile et l'intervention auprès d'une personne ayant des problèmes de santé mentale permettent de réaliser à quel point les policiers doivent impérativement travailler en étroite collaboration.
Chaque jour, les patrouilleurs sont confrontés à des cas de santé mentale. Le SPVQ travaille en collaboration avec les travailleurs psychosociaux pour outiller ses policiers et améliorer leurs interventions.
Les policiers jonglent constamment avec le facteur temps. Que ce soit pour évaluer l'urgence d'une situation ou pour profiter d'un moment propice pour agir, leur prise de décision ne repose parfois que sur une fraction de seconde.
Les policiers doivent s'adapter à des interventions extrêmement variées. S'ils ont le pouvoir de faire respecter la loi, ils ont aussi la responsabilité de justifier chacune des décisions qu'ils prennent et chacun des gestes qu'ils posent.
Dès le premier appel au service de police ou à la centrale du 911, l'investigation débute. Le travail d'enquête est au coeur du quotidien des policiers, peu importe l'unité dans laquelle ils oeuvrent ou la fonction qu'ils occupent.
De l'appel de routine aux opérations les mieux planifiées, les policiers composent toujours avec une part d'inconnu. L'être humain étant imprévisible, ils développent cette faculté de s'adapter rapidement.
Comme le reste de la société, la police s'ajuste aux nouvelles réalités auxquelles elle est confrontée. Les mentalités et les besoins de la population changent, inévitablement. Les policiers adaptent leurs interventions à cette évolution.
Les policiers composent quotidiennement avec le stress et la détresse humaine. Comment se prémunissent-ils contre les impacts psychologiques de leur métier?