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Downfall (2004)
8/10
fallait-il oser le faire?
28 April 2010
La première idée venant à l'esprit avant de visionner ce film est la suivante: casse gueule comme idée. Force est de constater que nous sommes pris par ce film. En rendant humains tous ces hommes, bien souvent tous des monstres,le film touche la ou il faut.A la fois intimiste mais avec des moyens,le film joue sur l'intime des personnages répondant à la machine guerrière, et sur l'intimité du bunker et l'holocauste environnant.Tous les acteurs sont épatants, sauf peut être l'acteur jouant Hitler: il lui manque un peu d'atrocité et de haine, mais ma conclusion explique l'impossibilité de tenir un tel rôle; il n'a souvent l'air que d'un vieil homme usé. Il dit à un instant: "désolé", mais je ne crois pas qu'Hilter est jamais voulu dire "pardon".En conclusion, je me demande quand même si l'on peut faire incarner à des acteurs des personnages de ce genre; le film allant encore augmenter la masse d'images d'Hitler, sans rien percer de son âme enténébrée.
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5/10
platitude de la mise en scène
26 April 2010
La platitude est le mot qui décrit le mieux cette version du roman de Gaston Leroux. Susanna Foster a beau être mignonne, les bellâtres sont un peu dégarnis, les meilleurs étant partis à la guerre sans doute.Ce qui pourrait sauver ce film, qui oscille sans cesse entre bleuette, pseudo fantastique et opéra, ce sont justement ces morceaux d'opéra, qui nous permettent de voir de l'art. Sans ces séquences d'opéra, tout serait bien pale. Et encore, ce ne sont pas les meilleurs morceaux du répertoire.Je n'ai pas encore vu les autres versions filmées de ce roman, mais je ne resterai pas sur cette version, ni mauvaise, ni bonne.
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Radio Days (1987)
7/10
De la radio comme psychiatre,informateur et agent de voyages
26 April 2010
Même si les références ne sont pas toujours connues pour un jeune français, Woody Allen arrive à nous intéresser à l'étude comportementale d'une famille juive banlieusarde new-yorkaise et de quelques autres personnages de ce tournant de 1940. On sent chez Woody Allen cet amour pour les chansons qu'il nous offre à écouter. tout est bien sur empreint de nostalgie, mais avec humour, sans regrets.Au détour d'un plan, on aperçoit même Tito Puente en chef d'orchestre.Comme d'habitude, les seconds rôles nous sont bien soignés et Woody Allen ne fait pas partie du générique, chose assez rare. Et oui , la radio a érté un rite de fondement de société,au même titre que la télévision, pour l'Amérique.
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White Noise (I) (2005)
5/10
Transcommunication Intrumentale à la sauce hollywoodienne
21 April 2010
Warning: Spoilers
La Transcommunication Instrumentale , ou TCI pour les initiés, passée à la sauce hollywoodienne. je m'attendais au pire; j'ai eu le meilleur et le pire réunis. Ce film est en fait séparé en deux: la première partie très lente, trop même, très bien chiadée,qui nous plonge dans un film mélodramatique classique, puis la seconde partie,fantastique, très bouillonne, trop rapide en comparaison de la première partie.Je ne m'attendais pas au scénario, qui arrive à échapper aux clichés, ce qui permet de sauver le film.Ca aurait pu être un bon film, mais il y manque une cohésion.Il y a une suite,mes commentaires suivront sur cette suite.
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8/10
comme de bien entendu...
21 April 2010
Warning: Spoilers
Quand un ancien juge parisien guindé et scrupuleux avec la loi, interprété par Michel Simon se retrouve avec sa bourgeoise, par un jeu de circonstances, au milieu de malfrats banlieusards, campés par notamment Arletty, et qu'Yves Mirande nous concocte les dialogues de cette comédie d'avant-guerre, nous sommes aux aguets; et nous ne sommes pas déçus!Les dialogues de ce cher Yves Mirande sont truculents et tous les acteurs sont épatants. Pour la cerise sur le gâteau, ça guinche au son de la fameuse valse "comme de bien entendu", interprété sur disque par Albert Préjean.La fin se veut peut-être un peu trop moraliste, mais tout passe très bien, avec de bons rires.
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7/10
onirisme, tricotage et spiritisme
7 April 2010
Pour ceux qui ne connaissent pas l'univers de Fellini, voila un film étrange; pour les autres, rien de bien nouveau.Des bourgeoises élégantes romaines pratiquent l'art de la table parlante spirite,du tricot et du bronzage.Le constant va et vient entre rêve et réalité déroute trop pour apprécier à sa juste valeur la portée morale du film.La plasticité des corps et des accoutrements est bien évidemment parfaite; trop parfaite, au détriment du fonds.Mais est-ce vraiment un film onirique? Si l'on parle de spiritisme, ce que nous prenons pour un rêve ne l'est peut être pas, puisque nos idées , par idéoplastie, imprimeraient une réalité autre...Fellini serait-il spirite?
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Rough Magic (1995)
6/10
Indian Jones rencontre Houdini et la bière mexicaine
7 April 2010
voila un film assez curieux. Sur un scénario à l'eau de rose d'un maître du roman noir, nous sommes entraînés sur les traces d'une beauté fatale magicienne qui tente d'échapper à son ex-futur mari au Mexique.Le film commence par un film policier pour se teinter très vite d'aventures, de comédie romantique et pour finir en comédie déjantée.Il y manque un je-ne-sais-quoi pour en faire un vrai bon film; pourtant Bridget Fonda est vraiment pile poil pour le rôle et les autres acteurs sont tous en place; la caméra et les décors naturels aussi, mais il y manque un fonds pour vouloir se le remémorer ou se le revoir.Le thème de la spiritualité est juste traité de façon magique, trop légèrement.
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8/10
jubilation nippone
18 March 2010
pour un non connaisseur du cinéma de samurai japonais, ce film est une entrée en matière qui donne envie de voir toute la série.Mise en scène envoûtante et précise,alliant scènes d'actions et de fausse quiétude,scénario jusqu'auboutiste et prenant,tout nous prend dans ce film à la limite du gore, teinté d'érotisme, mais qui allie fond et forme .Les valeurs des samouraïs imprègnent tout la logique du film, ou la relation avec les esprits désincarnés est aussi mise en avant. Un film prenant, jubilatoire qui force le respect par son ethétisme et par ses thèmes abordés.Allons vite visionner les autres films de cette série.
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7/10
Mieux vaut choisir son majordome parmi les riches
6 March 2010
nous sommes en face d'un petit bijou de comédie américaine de la grande période.Bien évidemment les dialogues sont irrésistibles mais surtout nous avons droit à un jeu de très bons acteurs,William Powell en tête;Nous retrouvons des seconds rôles exceptionnels, tel Mischa Auer,inoubliable dans Hellzapoppin.Seule Carole Lombard se surjoue légèrement.Le scénario et les dialogues sont plutôt misogynes et donc excellents.On se demande même à certains moment au début du film si Preston Sturges n'a pas écrit les dialogues et le scénario!On a droit, vu la période de crise économique du film, à une dose de morale, mais sans lourdeur.Un petit bijou dont je n'avais jamais entendu parler.A revoir un jour.
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Manhattan (1979)
8/10
Bienvenue chez les névrosés Newyorkais
15 February 2010
Les bobos névrosés Newyorkais que nous montrent Woody Allen nous apparaissent comme la quintessence de l'homme occidental de cette seconde moitié du XXème siècle.Il arrive à nous impliquer dans ses personnage et en se moquant de lui même et en nous faisant rire.A la différence de nombreux de ses films virevoltants mais sans pause, celui ci laisse des moments de contemplation. Sous sa caméra, on sent vraiment son amour pour New York, magnifiée par la musique de Gershwin.Il arrive à rendre contemporaines ces musiques écrites 50 ans auparavant.Pour finir en beauté, il nous laisse imaginer la suite de son film, comme métaphore de New York, ville ou l'histoire n'a pas de fin.
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6/10
un détective aveugle pourchasse les nazis....
12 February 2010
Nous sommes au beau milieu de la série B. Tourné en 1942, donc en pleine guerre, l'espionnage a pris le dessus du policier. Dès les premiers plans, on assiste aux exploits d'une détective (« The Gumshoe ») aveugle, et de son chien. Le seul intérêt de ce film réside dans cette improbabilité, qui permet au film d'échapper à une coupure d'écran du téléspectateur au bout de 10 minutes. L'ingéniosité de ce couple, ou le chien remplace les yeux de son maître, nous fait légèrement sourire mais réussit à nous laisser visionner cette sous-production hollywoodienne, que quelques acteurs, dont le rôle principal, arrivent à maintenir à flot. Une curiosité de plus.
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7/10
magiciens et spirites autour d'un meurtre
9 February 2010
Ce film appartient au genre éculé et très vieillot du "qui est donc l'assassin?".Mais venant de Tod Browing, le sujet ne pouvait être traité dans n'importe quel milieu: les magiciens et les spirites sont donc les protagonistes de ce film mineur, mais aucunement de série B. En partant du principe de la magie comme étant une supercherie,qu'il connait bien, il arrive à la conclusion que le spiritisme peut ne pas être une supercherie après étude, qui'il peut ne pas y avoir de tour et donc que les phénomènes spirites sont mus par une autre intelligence qu'humaine; une démarche toute scientifique qu'il applique à son scénario.Je n'y aurai pas pensé moi même.Tod Browning arrive même à placer le nom de Cagliostro,exemple parfait de la connivence magie-ésotérisme et franc maçonnerie.Rassurez vous, le film est tout sauf intellectuel et se veut une comédie policière qui atteint son but et plus que ça.On retrouve avec joie dans ce film la gouaille de bonnes vieilles têtes d'acteurs, dont le truculent William Demarest, acteur de second rôle attitré des comédies de Preston Strurges.Dommage que l'actrice principale soit une blonde trop banale.En tout cas, une curiosité à voir.
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7/10
De Broadway à Nova York
6 February 2010
Cette fois ci Woody Alen nous emmène de Broasdway à Nova York, du milieu des ratés du Show Biz au milieu des ratés de la mafia italo-newyorkaise.Et il trouve toujours le moyen de filmer New York sous un jour nouveau, avec une prise de vue qui n'avais jamais été faite ou un lieu qui n'avait pas encore été filmé.Pour le amoureux de New York, ces films sont toujours des quasi documentaires.Celui ci pourrait être considéré comme mineur, mais non denué de charme et de trouvaille.Il allie ses thèmes favori:les tourments amoureuses, les névroses humaines et les questionnements philosophiques: le tout traité avec humour et invention.Un bonne dose de nostalgie imprègne le tout avec quelques bonnes vieilles galettes musicales pour agrémenter l'ensemble.Ses ingrédients de base se répètent mais la recette n'est jamais la même.Encore un film ou ne se lasse pas de voir et revoir New York à travers ses lunettes.
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8/10
un petit bijou pour les grands et les petits
3 February 2010
A la fois drôle, émouvant, mystérieux et surtout captivant, ce film est un petit bijou.Rares sont les films dit "d'enfants " qui arrivent à dépasser les générations et qui permettent à tous de s'y retrouver.Seul absent de marque : la femme: pas le moindre trace du sexe féminin dans ce film, mais ceci permet de jouer sur d'autres facteurs que la séduction et la sensualité.Tous les acteurs sont épatants, qu'ils soient jeunes ou vieux.Le microcosme des évenements permet à chacun d'être un grand rôle.Les dialogues écrits notamment par Prévert font mouche à tous les coups et Christian Jacque nous étonne par la limpidité de sa mise en scène.Un beau rêve que ce film.
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7/10
Névroses de Bobos urbains qui font mouche
2 February 2010
Pour les amoureux ou ex-amoureux de New York ,comme moi, il y a toujours dans un film de Woody Allen des scènes ou l'on découvre un coin de New York que l'on ne connaît pas et qui nous fait Re-aimer la Nouvelle York.Comme dans tous les films de Woody Allen, il approche des névroses des Bobos urbains avec vivacité et ingéniosité.En tant que spectateur, nous accueillons avec dégoûts ou délectation les évènement qui s'entrecroisent, mais Woody Allen ne nous laisse pas indifférent dans son scénario, qui nous renvoie sans cesse à notre propre image.Woody Allen a le mérite dans ce film de laisser quelques suites d'évenements en pointillé,laissant au spectateur le soin d'imaginer la suite et de se faire sa propre morale sur des points abordés par le scénario.
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Quicksand (1950)
5/10
série B- pour la mise en scène et B+ pour les acteurs
2 February 2010
Warning: Spoilers
Que diable viennent faire de bons acteurs dans ce film de série B, filmé sans imagination. Peter Lorre est superbe en tenancier sordide: toute la perfidie et la bassesse des sentiments humains s'incarnent en lui;la blonde fatale joue son rôle à merveille,James Cagney s'en sort aussi très bien.Mais quant à la mise en scène,nous sommes loin de Fritz Lang.De plus, la fin se veut à la fois moralisatrice mais non tragique: on aurait espérer une fin bien noire,dans la lignée du scénario du film, ou l'engrenage se nourrit lui même.Pas le genre de films imbuvables mais à classer dans la série B. B- pour la mise en scène et B+ pour les acteurs.
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6/10
une curiosité pour grands enfants de Satyajyt Ray
15 January 2010
Dans la filmographie de Satyajyt Ray, ce n'est sûrement pas le meilleur film, ni le premier à voir; on y retrouve pourtant certains éléments purs à son cinéma: l'aristocrate au bord de la ruine se complaisant dans la musique,le portrait de l'incrédulité humaine face à la religion et à l'idolâtrie.Mais Satyajyt Ray ne force jamais la dose, tout est dans la nuance.Il a toujours cette façon si douce de filmer, qui malheureusement dérape un peu sur deux ou trois plans.Est-ce un film pour enfants? Il est souvent présenté comme tel,mais je ne sais si il leur plairait.L'action se passe à Bénarès, qui fait quasi figure de ville endormie, ou ne régnerait que la dévotion et ou le Gange coulerait, paisiblement,au même rythme que la gens dont peu semblent vraiment travailler.Une curiosité du maître.
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Red Rock West (1993)
6/10
du travail trop bien soigné
11 January 2010
Tous les clichés sont là: l'innocent pris au milieu des gangsters, la petite ville américaine de l'ouest qui sent bon les descendants de Cow -boy et la bière.Le sexe et l'argent comme motivation pour tous les personnages.. du travail bien soigné,trop bien soigné même. Tout en devient trop prévisible et bien trop cliché: à force d'enfoncer le clou de soit disant revirements attendus, on se lasse vite. Heureusement les acteurs sont pile à leur place et Dennis Hopper est toujours aussi Jubilatoire; dommage que le filme ne le soit pas.Et depuis, des remakes incessants ont été refaits.Le premier film réalisé par John Dahl ( KILL ME AGAIN) est bien mieux dans le même genre.
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5/10
pas le meilleur de pierre Richard
11 January 2010
Dans la lignée des films de Pieerre Richard de cette première moitié des années 70, ce film n'est pas le meilleur.les gags sont un peu poussifs et manquent singulièrement de vivacité.La production a pu partir en Angleterre mais ça n'apporte rien au film.Tout se laisse regarder avec bonhomie mais pas de réelle jubilation.Des films comme " les malheurs d'Alfred", "le distrait" ou "le grand blond avec une chaussure noire" ont une fraîcheur que l'on en retrouve pas ici.Il manque quelques seconds rôles comiques et Pierre Richard a besoin de gags visuels rythmés pour rendre grâce à son talent."la moutarde me monte au nez" film antérieur qui réunissait les deux acteurs principaux est déjà un ton plus rigolo.
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8/10
fluidité de la forme et puissance du fonds
2 January 2010
Julien Duvivier est un réalisateur des plus méconnus, mais dont l'oeuvre, recouvrant plusieurs décennies, est à voir et revoir."Voici le temps des assassins" est encore un petit bijou de fluidité, car chez Duvivier, à l'inverse d'autres réalisateurs, il fait tout pour nous faire oublier la forme et privilégie le fonds.C'est en cela que c'est un très grand réalisateur méconnu, car effacé, mais sans une fausse note ou un plan de trop, tout au service de l'intrigue et du jeu des acteurs.Coté acteurs, tous sont excellents mais Danièle Delorme qui joue tout en finesse doit tenir là son meilleur rôle. Film des plus misogynes, ou les femmes ont toutes de rôles de garce et ou les hommes ne sont que des jouets dans leur main. Duvivier explore, comme il aime et sait le faire les deux facettes de l'humain.Un grand film.
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6/10
une comédie musicale parmi tant d'autres,mais avec James Cagney
2 January 2010
Dans la myriade de comédies musicales des années 30," Hollywod, Hollywood " ferait partie de ses films que l'on oublie facilement sans l'excellent James Cagney. Il n'a ni la classe d'un Fred Astaire, ni la belle gueule d'un Dick Powell, mais son énergie et sa gouaille permettent d'oublier la réalisation plus que terne.Pour une fois, l'actrice principale sait chanter( Evelyn Daw)et ne se fait pas postsynchronisée.Peu de numéros musicaux à proprement parlé, mais les quelques pas que font Cagney et ses acolytes (notamment près de la quarantième minute) démontrent en lui un vrai Showman.Encore une fois, le film est sauvé par ses acteurs, seconds rôles et James Cagney en tête; la musique et le réalisateur seront par contre assez vite oubliés.
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6/10
Morgan Freeman and Ellen Barkin saved this movie
24 August 2009
Walter Hill' filmography is always engaging at first sight.Stirred up by a screenplay promising action, sex, betrayal and revenge, you sit on your couch and insert longingly your DVD.Cast is good,no technical flaws,New Orleans'heat, should be a great movie....well, i ended up unsatisfactory; not really frustrated, but in a longing-for-more position.Watching this film helped me whiling away the time, but i won't watch it again, because it lacked elation.Two actors save this flick and owe the credits for not turning it into a B-movie. Ellen Barkin plays so well a hell of bitch and Morgan Freeman portrays effectively and jubilantly a cynical cop.As for Mickey Rourke, i don't know what to say for his acting as his role requests almost no acting, wearing a mask on his face for half the movie....
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7/10
Audiard and Gabin teams up again for our pleasure
13 December 2006
Based on a novel by Georges Simenon, this movie belongs to three different genres; drama,romance and thriller.It is said to be Audiard's( the guy who wrote the lines) favorite movie he worked on.As many movies written by Michel Audiard,half the interest comes from these lines from a man who knew like no one else to embed the wittiness and the aptness altogether in memorable phrases and sentences. The directing is restrained like many movies of Gilles Grangier,without any flaw or stroke of genius. Jean Gabin performs in a stark and impressing way, helped by a great cast of second fiddles, bandying the lines of Michel Audiard for our jubilation,as always.
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Thrashin' (1986)
6/10
cheesy and gnarly.........
24 July 2006
1986.Skatebordin' is blooming and almost booming...... What could have been another piece of crap is actually and surprisingly quite good. The plot shows now and then some usual clichés amongst skaters, but the cast plays very good; i cannot say it is the most engrossing movie of the 80's, but you'll get your amount of fun, love, music and skating scenes.As in many teen flicks(remember Tuff Turf),the plot is simple:Valleyboy meets the girl, but the girl belongs to the opponent's team,a competition will take place.....guess the ending..... If you're a Red Hot Chilli Peppers fan,don't miss their performance live, singing a song from their first album.
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Le maestro (1977)
4/10
flat and ineffective
19 July 2006
Based on a play'Les Vignes Du Seigneur',this movie is the epitome of the lame French comedies of the 70's.the cast is surprisingly well chosen, with Jean Lefevre , Michel Galabru, Desmarets and Daniel Ceccaldi. Jean Lefebvre plays the usual spaniel and the rest of the cast tries to invigorate the plot;the typical ingredients of the comedy are all injected: the cuckold, goofs and mistakes,custard pies thrown in an elevator, the stiff Brit,people talking 'Javanais'( French back slang) but the result is disappointing.It may have been a good play and it should have stayed this way.Even if some scenes may be funny, the result is tastelessness and flatness.
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